Affaire de l’assassinat de la touriste suisse à Djanet : Pourquoi Adam Arroudj ment encore ?

Il est désormais clair que le correspondant du Figaro, Adam Arroudj, ne cherche qu’à semer le doute et la confusion avec des informations erronées et mensongères. Ce n’est pas la première fois que ce journaliste, basé à Alger, abuse de sa position pour diffuser des récits biaisés, visant à ternir l’image de l’Algérie. Sa récente couverture de l’assassinat tragique de la touriste suisse à Djanet en est une nouvelle preuve.

Adam Arroudj prétend que cet acte horrible aurait été perpétré par un terroriste islamiste, rappelant l’assassinat du ressortissant français Hervé Gourdel en 2014. Mais cette version est non seulement fausse, elle semble être volontairement distordue pour entretenir un climat de peur autour du tourisme dans le sud algérien, un désert pourtant prisé des visiteurs étrangers. Arroudj fait d’ailleurs souvent preuve de négligence, préférant créer des amalgames que d’enquêter sérieusement. Il est évident que ce correspondant, qui travaille souvent depuis son domicile, se soucie peu de vérifier ses sources ou d’obtenir des informations précises. Son objectif semble bien plus inquiétant : contribuer à fragiliser l’image de l’Algérie, notamment auprès des touristes occidentaux.

Mais revenons aux faits. Contrairement à ce qu’avance Arroudj, notre rédaction a vérifié la véritable version de cette tragédie auprès de trois sources fiables, dont un ancien ambassadeur résident à Djanet. Le coupable n’est pas un terroriste islamiste, comme le prétend Le Figaro, mais un jeune délinquant local. Ce dernier a tenté de voler le téléphone portable de la victime alors qu’elle était attablée à une terrasse en compagnie de trois autres touristes. Face à la résistance de la touriste suisse, il a sorti une arme blanche et l’a mortellement blessée. Le meurtrier a tenté de fuir, mais la population locale l’a rapidement arrêté avant de le remettre à la police, qui est intervenue rapidement sur les lieux.

Contrairement aux fausses affirmations d’Arroudj, ce crime n’est pas lié à une menace terroriste islamiste, mais à un acte de délinquance isolé. L’ouverture d’une enquête par les autorités locales permettra de faire la lumière sur cette tragédie.

Cependant, cette affaire n’est qu’un exemple parmi d’autres des mensonges propagés par Adam Arroudj. L’été dernier, il s’était déjà illustré par des propos diffamatoires concernant un reportage prétendument centré sur Joséphine Baker. Dans son article, il avait qualifié la terrasse de l’hôtel El Djazair (anciennement Saint George) de “lieu de rendez-vous pour prostituées et expatriés français”, une accusation totalement infondée et destinée une fois de plus à jeter le discrédit sur des lieux symboliques de l’Algérie.

Adam Arroudj s’est manifestement donné une mission bien plus insidieuse que celle d’informer correctement ses lecteurs. En répétant de fausses informations, il contribue à propager une image erronée et nuisible de l’Algérie, alimentant la peur et l’instabilité. Sa négligence, voire sa malhonnêteté, ne font que ternir la réputation de son journal et porter atteinte à la vérité. Il est temps que ses manigances soient dénoncées, car la désinformation n’a pas sa place dans le journalisme.

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