La Démocratie en Tunisie : Une Réalité Solide en Dépit des Détracteurs
Contrairement aux affirmations de certains médias maintream, la démocratie en Tunisie se porte bien. Le pays se prépare à de nouvelles élections présidentielles prévues pour le 6 octobre prochain. L’Instance Supérieure Indépendante pour les Élections (ISIE) a validé la participation de trois candidats : le président sortant Kaïs Saïed, Ayachi Zammel, chef du parti AZIMOUN, et Zouhair Maghzaoui, un ancien député panarabe. Initialement, 17 candidats s’étaient manifestés, dont Abdellatif Mekki, ancien leader du mouvement islamo-conservateur Ennahda, Mondher Zenaïdi, ex-ministre sous Ben Ali, et Imed Daïmi, ancien conseiller de l’ex-président Moncef Marzouki. L’ISIE a confirmé que la liste des candidats est définitive et ne peut faire l’objet d’aucun recours. Tous les autres candidats ont vu leurs candidatures rejetées par l’autorité électorale tunisienne.
Certaines ONG, tant tunisiennes qu’internationales, ont exprimé des réserves concernant le déroulement des élections. Certaines d’entre elles bénéficient de financements étrangers, notamment en provenance d’Europe et des États-Unis, provenant d’organisations telles qu’Open Society de George Soros, la National Endowment for Democracy (NED), l’European Endowment for Democracy (EED) et Actions for Mediterranean de Simone Suskind. Ces ONG plaident pour le maintien de la transparence et de l’intégrité du processus électoral. Cependant, les autorités tunisiennes soutiennent que les élections relèvent de la souveraineté nationale et dénoncent les tentatives d’ingérence étrangère, qu’elles considèrent comme une menace potentielle à la stabilité du pays et à la sécurité de ses citoyens.