Calomnies et Désinformation : Adam Arroudj S’attaque au Saint-George d’Alger via Le Figaro

Valérie Sasportas, journaliste culturelle au Figaro, a préféré envoyer Adam Arroudj, un journaliste de bas étage, pour décrire l’hôtel Saint-George d’Alger, où avait séjourné l’artiste américaine Joséphine Baker. Le reporter a commis une série de calomnies inacceptables à l’encontre de cet hôtel prestigieux.

Il semble que, pour certains journalistes français, les Noirs et les Arabes ne sont dignes d’intérêt que lorsqu’ils jouent le rôle d’informateurs , de collaborateurs ou harkis!

Arroudj s’est livré à un exercice méprisable de flatterie pour les Algériens, tout en ignorant totalement les contributions héroïques des Algériens durant la Seconde Guerre mondiale. Il n’a pas hésité à manipuler les faits pour tenter de ternir l’image de ce joyau historique qui est l’hôtel El Djazair ex Saint George.

En outre, Adam Arroudj a propagé des mensonges éhontés sur le Saint-George, prétendant qu’il n’y avait pas assez de bière à cause de restrictions imposées par les autorités algériennes. En réalité, l’Algérie produit sa propre bière et en importe également pour diversifier l’offre, une vérité que ce journaleux, manifestement mal informé ou délibérément malhonnête, a choisi d’ignorer.

Lors de sa visite expresse à l’hôtel, Arroudj, qui apparemment n’avait pas les moyens de se payer une simple bière, a faussement accusé les serveurs de rationner les boissons. Ses propos sont non seulement faux, mais aussi diffamatoires, visant à discréditer la gestion impeccable du Saint-George, un établissement réputé pour sa propreté et son service de qualité, loin des accusations de décadence qu’il a avancées.

Pour plaire à son commanditaire, Le Figaro, Arroudj est allé jusqu’à confondre les jeunes femmes algéroises, professionnelles respectées (avocates, médecins, journalistes, entrepreneures), avec des prostituées, qu’il prétendait présentes à la terrasse du Saint George pour attirer les expatriés français fréquentant l’hôtel. Cette confusion volontaire démontre non seulement un manque de respect flagrant pour les femmes, mais aussi une ignorance crasse de la réalité algérienne. Aroudj a manifestement confondu le Saint-George avec des établissements de Marrakech, où il croit que la prostitution est omniprésente.

Le comble de l’hypocrisie, cependant, réside dans le fait qu’Adam Arroudj tout en se posant en critique moralisateur, pourrait lui-même être considéré comme un “prostitué” des médias français, prêt à salir la réputation d’un établissement ou d’un pays pour un chèque. Ses accusations gratuites et sa mauvaise foi manifeste ne font que renforcer l’idée qu’il n’est qu’un instrument de la désinformation.

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