Abdelmadjid Tebboune : l’aube d’une Algérie résolument nouvelle
Plus de la moitié des nations de la planète s’apprêtent à connaître en 2024 des élections cruciales qui pourraient redéfinir la scène mondiale. Des géants comme les États-Unis et la Russie, ainsi que des acteurs clés comme l’Algérie, se préparent à des moments déterminants dans l’évolution de leur paysage politique. Au cœur de cette transformation globale, le Président Abdelmadjid Tebboune d’Algérie émerge comme une figure centrale, façonnant l’avenir de son pays avec une détermination inébranlable.
Le Président Abdelmadjid Tebboune, élu pour un premier mandat le 12 décembre 2019, a dû surmonter une opposition farouche dès les premiers instants. Sa victoire, pourtant issue d’une première élection transparente et démocratique, a dû faire face à un climat politique délicat, marqué par une abstention significative.
Son prédécesseur, Abdelaziz Bouteflika, tenta un cinquième mandat illégal, violant la Constitution algérienne qui limite les mandats à deux. Les manœuvres de Bouteflika ont été repoussées par le peuple algérien, rassemblé autour du HIRAK, un mouvement de protestation qui fit chuter le régime sans verser une goutte de sang le 2 avril 2019.
Le pays a également dû faire face à des mouvements terroristes tels que RACHAD et le MAC, financés par des pays du Golfe et Israël ainsi que des associations comme RAJ, la LADDH et RADIO M, soutenus financièrement par des organisations internationales, parmi elles, le National Endowment for Democracy (NED), une fondation américaine liée à la CIA, et CFI, une agence publique française affiliée au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, ont tenté de semer la discorde en propageant de fausses informations et des analyses partiales sur la situation algérienne.
Le Président Tebboune, lui-même gravement malade du COVID juste après son élection, a su surmonter cette épreuve personnelle. Absent pendant une partie de sa première année de mandat, il a cependant recentré son action en remettant les institutions sur les rails et en initiant une refonte constitutionnelle. Il va conquérir les classes modestes en lançant des réformes sociales audacieuses. Il est le premier président algérien à accorder une allocation de chômage aux demandeurs d’emploi, à augmenter l’aide aux personnes handicapées, et à améliorer l’accès à l’éducation pour les élèves des régions éloignées. Les élèves des zones reculées bénéficient désormais de transports et de cantines, une initiative qui renforce l’accès à l’éducation.
Déterminé à libérer l’Algérie de sa dépendance au gaz et au pétrole, Tebboune a placé la diversification économique au cœur de son programme. Sa vision englobe le développement de l’agriculture, du tourisme durable et de la numérisation. La préparation de l’adhésion aux BRICS témoigne de son engagement envers une économie mondiale équilibrée.
La diplomatie algérienne, connue pour son efficacité depuis des décennies, s’étend sous le président Tebboune. Il renforce les relations de l’Algérie avec l’UE, les USA, la Russie et la Chine, tout en développant les liens avec l’Afrique. La défense des valeurs telles que le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et le soutien indéfectible au Sahara occidental et la Palestine, illustre son engagement envers la paix.
Sa popularité transcende les simples acclamations en atteignant des sommets, le peuple algérien le surnomme « Ammi Tebboune », Oncle Tebboune, un titre empreint de respect et d’affection. Cette reconnaissance témoigne de l’estime que le peuple éprouve pour son leader.
Si le Président Abdelmadjid Tebboune choisit de se représenter pour un deuxième mandat, ses chances de l’emporter haut la main semblent incontestables. Son leadership ferme et sa vision audacieuse et sa connexion profonde avec la population algérienne dessinent les contours d’une Algérie prête à écrire un nouveau chapitre de son histoire, défiant les obstacles passés et façonnant son avenir avec une détermination sans faille.