Le scandale médiatique qui secoue l’Algérie : Une chaîne privée crée la controverse !

C’est une consœur d’Alger qui contacte la rédaction d’ATIPIK pour nous informer que l’Algérie est sous le choc. Ce que beaucoup pressentaient sans oser y croire vient d’être confirmé par une chaîne de télévision privée : une personnalité controversée, au parcours douteux et au comportement dégradant, est imposée sur les écrans du pays durant le mois sacré du Ramadan.
La rédaction d’ATIPIK a hésité à publier cet article, mais après une vérification minutieuse des faits, les informations relayées par notre consœur algéroise se sont avérées exactes. “Fazou et sa clique” constitue une insulte à l’intelligence et à la dignité. Une première question s’impose : que fait l’organe de régulation de l’audiovisuel en Algérie ?
L’histoire de Fazou : d’un quartier populaire d’Alger à la provocation sur les réseaux Sociaux
Pour comprendre l’ampleur de la controverse, il faut revenir aux origines de Fazou. Issue d’un quartier populaire d’Alger, elle quitte l’école très tôt avant d’être mariée à l’âge de 16 ans à Oo, un homme ayant fui l’Algérie durant la décennie noire pour s’installer à Londres. Ce mariage arrangé lui ouvre les portes du Royaume-Uni via le regroupement familial, où elle mène une existence loin des réalités du travail et de l’effort.
Avec son mari, qui ne travaille pas non plus malgré un âge encore propice à l’emploi, et leurs trois enfants – l’un plombier, l’autre vendeuse dans un magasin de chaussures et petit dernier encore à l’école primaire – ils vivent grâce aux allocations sociales britanniques et sont logés dans une maison fournie par l’État.
Un mensonge permanent et une mise en scène insultante
Convaincue d’appartenir à une classe sociale supérieure, Fazou construit un récit délirant sur les réseaux sociaux. Elle s’autoproclame descendante de la bourgeoisie algéroise, riche et élégante, alors que son mode de vie dément ces affirmations. Vulgaire, arrogante et en surcharge pondérale, elle passe ses journées à exhiber des plats cuisinés avec des ingrédients achetés en magasin discount, persuadée de susciter l’envie.
Elle insulte les Algériens en les qualifiant d’arriérés et de “Bekbek”, tout en s’affichant dans des tenues de mauvais goût, se croyant sophistiquée. Son mari, docile et silencieux, est volontairement engraissé car, selon Fazou, elle veut le rendre indésirable aux yeux des autres femmes. Ce portrait grotesque et pathétique enflamme la toile, où elle accumule les critiques, mais elle s’en moque. Son narcissisme maladif la pousse à persévérer.
Un profil psychologique troublant : Entre mythomanie et trouble de la personnalité narcissique
L’attitude de Fazou ne relève pas seulement de l’excentricité, mais d’un véritable trouble psychique. Les experts s’accordent à dire qu’elle souffre de mythomanie exacerbée, couplée à un trouble de la personnalité narcissique. Elle se construit un monde imaginaire où elle est supérieure aux autres, incapable d’accepter la moindre critique. Ses insultes constantes, sa mise en scène grotesque et son obsession pour son image altérée sont les signes d’une fragilité psychologique profonde.
Le choc : Fazou et sa fille à la télévision algérienne
Alors que le ministre algérien de l’Information et de la Communication, Mohamed Meziane, exhorte les médias de son pays à relever le niveau pour rivaliser sur la scène internationale, une chaîne privée a fait un choix incompréhensible. Pour le mois sacré du Ramadan, période de partage et de valeurs spirituelles, elle a décidé de diffuser une émission culinaire animée par Fazou et sa fille, débauchée de son poste de vendeuse de chaussures pour assister sa mère.
C’est un affront pour les téléspectateurs algériens qui se voient imposer une figure vulgaire, méprisante et dénuée de toute crédibilité. Ce choix éditorial suscite un tollé sur les réseaux sociaux, où les internautes dénoncent une insulte aux valeurs du pays. Le respect des traditions et des principes religieux semble piétiné par une logique de buzz et de provocation.
Une indignation générale et un sursaut nécessaire
Face à cette controverse, une question se pose : jusqu’où ira la déchéance de l’audiovisuel algérien ? L’influence des réseaux sociaux doit-elle dicter la programmation télévisuelle au détriment de la culture et de l’éthique ? La diffusion de ce programme est un signal alarmant sur la dérive d’un paysage médiatique censé incarner l’élévation intellectuelle et la transmission de valeurs.
Le cas Fazou est révélateur d’un malaise plus profond : celui d’une société en quête de repères, où émergent des figures superficielles et toxiques au détriment d’un contenu inspirant et éducatif. Il est temps que les décideurs prennent leurs responsabilités et offrent aux Algériens des émissions dignes de leur culture et de leurs aspirations.
Le scandale est là, Fazou et Loulou enseignent l’art culinaire aux “Bekbek” et l’opinion publique ne compte pas se taire.